Revue de presse
Journal Ouest-France

 

08/07/2005 : Entrez dans le monde de Nosfell

23/06/2005
: Voyage dans l'univers de Nosfell

20/05/2005 : Nosfell , caméléon musical, en concert à Puzzle

15/05/2005 : Nosfell invente l'avenir du rock à l'espace Puzzle vendredi

09/05/2005
: Nosfell, avant les Charrues et Montreux

05/05/2005 : Ça vibre avec Nosfell et Steiner

22/03/2005 : Nosfell, l'enchanteur a tenu son pari

17/03/2005 : Blues, rock et chanson française au Bacardi samedi

16/03/2005 : Nosfell se produit, jeudi, à l'Appel d'airs

14/03/2005 : Nosfell, atout diabolique et magique

13/01/2005 : Nosfell le caméléon, bête de scène

03/12/2004 : Nosfell , la voix du Klokochazia

26/11/2004 : Nosfell , un phénomène artistique

23/11/2004 : Rock et melting-folk sur la scène des musiques actuelles

21/07/2004 : Nosfell a séduit le public du Bathyscaphe

17/07/2004 : La révélation Nosfell au Bathyscaphe

 

 

Vendredi 8 juillet 2005
Edition : Finistere - Rubriques : Départementale

« Celui qui marche et qui guérit » en concert aux Vieilles Charrues à Carhaix

Entrez dans le monde de Nosfell

De Carhaix, Vieilles Charrues, vous voilà partis pour la Klokochazia, cette étrange et intime contrée où vit, chante et danse Nosfell « Celui qui marche et qui guérit », artiste protéiforme.

 

Nosfell serait un animal ? Oui. Un caméléon aux grands yeux noirs, fluide et fin, aux tatouages du plus bel effet. Qui danserait, serpent, singe, poisson... Artiste protéiforme, Nosfell a reçu le don des voix : murmure tendre, ton enfantin, cri du coeur, plainte rauque, grave de velours... Penchés sur le phénomène, les spécialistes observent : « Ce Nosfell, inclassable, super original, techniquement très fort ». Son spectacle ? « Une création d'atmosphères, et, plus qu'une expérience sonore, une prestation également visuelle et sensorielle. »

Pour mieux s'incarner en chacun, le fantasque Nosfell s'est inventé un langage personnel, le Klokobetz, 283 mots qui contiennent les mythes d'un pays imaginaire, le Klokochazia : « Je désire exceller dans l'art de la suggestion. Je présente un travail très intime. Mon but est de réussir à le rendre universel et humain. Je suis très fier quand les gens me disent que mon concert leur a fait retrouver des souvenirs, des lectures, des images ou des sensations très personnelles. » Une mélodie « Mindala Jinka », une bribe de phrase « Pomaïe Klokochazia Balek », et Nosfell chante tout un monde, peuplé de personnages curieusement familiers, héros d'aventures bizarres.

Face à des milliers de spectateurs, sacré défi que lance Nosfell, le « jam-man », qui se sample lui-même sur scène, construisant ses morceaux au fur et à mesure, bouclant ses voix et ses accords toujours en direct. Un principe d'empilage de voix, de cordes, de percussions auquel se rallie un précieux complice, le talentueux violoncelliste Pierre le Bourgeois. Certains n'arrivent parfois pas y croire, criant d'abord au play-back, avant de succomber, inévitablement, au charme de cet irrésistible voyage musical, oscillant entre rêve et réalité.

Ponctuant ses morceaux d'interludes amusants, initiateur d'incroyables dialogues avec son public, Nosfell conçoit ses concerts comme « un labeur divin », souvent effectué en équilibre sur un pied, usant de la guitare comme d'une baguette magique. « J'ai plus envie de jouer « avec » mes morceaux que de les jouer », dit l'artiste, qui puise dans toutes les musiques du monde : « C'est le caractère ethnique des musiques qui m'intéresse, qu'elles soient anciennes ou modernes. » Râles caverneux ou ondulations cristallines : « Le choix des histoires me permet de justifier l'utilisation de la voix à son maximum. Je n'explore pas les sons pour le seul plaisir de faire des hauts et des bas. Chaque son contient du sens. Je change de ton parce que j'incarne différents personnages : une jeune femme aux mains pleines de sève, un vieil homme que plus personne n'écoute. » Nosfell signifierait « Celui qui marche et qui guérit », « comme ces noms de métier devenus des noms de famille ».

Pratique. Nosfell , dimanche 24 juillet aux Vieilles Charrues, scène Kerouac. Forfaits : 66 € les trois jours et 26 € la journée. Rens. et infos sur : www.vieillescharrues.asso.fr ou n°Indigo 0820 890 066. Mail : festivaliers@vieillescharrues.asso.fr

Frédérique GUIZIOU

 

Dimanche 5 juin 2005
Edition : Finistere - Rubriques : Actualités

Ça vibre avec Nosfell et Steiner

Nosfell , une voix phénoménale au service d'un univers étrange

Ils sont drôles, débordant d'énergie et ont du mal à quitter la scène. Il est près de 4 h du mat, samedi, et Rubin Steiner et ses musiciens achèvent un set décoiffant, comme le Forum en a le secret. Public hilare et bondissant dans la fosse, ou bien massé à l'étage où la circulation devient de moins en moins fluide... Rubin Steiner, bien sûr, c'est des machines, un ordinateur et des bidouillages. Mais surtout, quatre musiciens qui s'éclatent sur scène, torturent leurs guitare, basse, batterie, trombone... s'égosillent et font le clown.

Plus tôt, le Forum avait vécu une expérience étrange. Celle d'un concert de Nosfell, l'homme à la gestuelle d'un piaf contorsionniste. Et surtout à l'imaginaire sans limite, inventant un monde merveilleux, la Klokochazia, dont il a mission de transmettre légendes et mélodies populaires.

Avec une arme insolente de virtuosité : une voix qui livre des sons gutturaux d'un autre âge ou s'élève dans un registre féminin.

Il l'enregistre en direct, la fait passer en boucle. Et la marie avec sa guitare et le violoncelle de son complice Pierre Le Bourgeois.

Une plongée dans un monde parallèle, grisant.

 

 

Lundi 23 mai 2005
Edition : Caen - Rubriques : Caen Ville

L'espace Puzzle était bondé vendredi soir

Voyage dans l'univers de Nosfell

Le public était venu nombreux, vendredi soir, à l'espace Puzzle, découvrir Nosfell, un artiste original et talentueux

Le public, qui a eu la bonne idée de venir voir Nosfell, vendredi soir, à l'espace Puzzle, a découvert un artiste talentueux d'une originalité certaine. Accompagné d'un violoncelliste, Labyala Nosfell joue de la guitare et de la voix, instrument à part entière dans son univers particulier. Bienvenue en Klokochazia.

 

La première partie a été assurée par Tranquille, qui porte bien son nom, vu la langueur de la musique délivrée par l'unique membre du trio présent, vendredi soir.

Le public a ensuite fait la rencontre d'un personnage issu d'un univers poétique particulier : Labyala Nosfell. Le jeune homme joue de deux instruments : de la guitare et de la voix. A l'aide d'un séquenceur, l'artiste, tel un « human beat boxer » crée en direct ses rythmiques qu'il balance en boucle.

La guitare et le violoncelle viennent se superposer sur ce fond sonore. Le morceau se construit sous les yeux d'un public attentif. Entre les titres, Nosfell raconte l'histoire de son pays, le Klokochazia. Difficile de tout saisir dans son dialecte mais le public se laisse charmer.

Proche du théâtre, l'artiste bouge sur scène tel un pantin désarticulé, passe dans le public pendant que les enceintes répètent en boucle une rythmique faite de cris buccaux et autres onomatopées où sa voix puissante, aussi à l'aise dans les graves que les aigus, apparaît irréelle. Les seuls instants où l'artiste semble saisissable c'est lorsque qu'il accorde sa guitare, mais cela ne dure que quelques secondes.

Les morceaux aux accents rock, groovy ou hip-hop s'enchaînent sans temps mort et rebondissent les uns sur les autres. Le concert se termine dans une cacophonie sonore ou les sons éléctro se mélangent aux cordes malmenées de la guitare et du violoncelle. L'espace Puzzle en redemande, le rappel est tout en puissance et très klokochazien. Mais déjà Nosfell doit repartir chez lui. Comme quoi il reste encore des portions de « terra incognita » sur terre, il suffit de tendre l'oreille.

 

 

Vendredi 20 mai 2005
Edition : Caen - Rubriques : Vie en ville

Nosfell , caméléon musical, en concert à Puzzle

Nosfell , ce soir, à Puzzle

Avec ses multiples voix et sa guitare, Nosfell, caméléon musical, unique locuteur d'une langue étrange, incarne différentes facettes des arts de la scène. Seul sur scène, il est un artiste protéiforme, inclassable, authentique... Sa musique, véritable « melting-folk », est une fusion puissante de rage et de douceur. Dans un style personnel indéfinissable, se mêlent le son cristallin de Bobby Mc Ferrin, l'énergie des Claypool, la puissance mélodique de Joni Mitchell et la féerie de Tom Waits.

Il crée en live, à l'aide de sampler, une superposition de guitares et de voix pour gagner en ampleur et tracer les contours d'un univers aux multiples facettes.

La première partie sera assurée par Tranquille, en solo. Ses folk-songs, en anglais dans le texte, trouvent leur inspiration dans la musique anglaise et américaine : le folk de Nick Drake et Léonard Cohen ou la pop dérangée de Radiohead et Elliot Smith.

Ce vendredi, à 20 h, à l'Espace Puzzle, 28, rue de Bretagne. Tarifs : 10 € et 8 € (réduit). Rens. 02 31 38 28 28.

 

 

Dimanche 15 mai 2005
Edition : Normandie - Rubriques : Le guide de votre semaine


Caen,
Nosfell
invente l'avenir du rock à l'espace Puzzle vendredi

Avec ses multiples voix et sa guitare, ce caméléon musical, unique locuteur d'une langue étrange, incarne différentes facettes des arts de la scène. Seul sur scène, Nosfell est un artiste protéiforme, inclassable, authentique. Sa musique, véritable « melting-folk », est une fusion puissante de rage et de douceur où se mêlent le son cristallin de Bobby Mc Ferrin, l'énergie des Claypool, la puissance mélodique de Joni Mitchell et la féerie de Tom Waits. Nosfell crée en live, à l'aide de sampler, une superposition de guitares et de voix pour gagner en ampleur, et tracer les contours d'un univers aux multiples facettes. Les concerts de Nosfell sont des invitations au voyage dans une contrée apparemment inconnue.

Mercredi 20 mai à 20 h à l'espace Puzzle. Tarifs : de 8 € à 10 €. Réservations à la Fnac et à Puzzle 02 31 38 28 28.

 

 

Lundi 9 mai 2005
Edition : Rennes 1 - Rubriques : Sortir à Rennes

Nosfell , avant les Charrues et Montreux

Nosfell et son complice violoncelliste, Pierre Le Bourgeois, sont aux anges : leur calendrier de concerts est copieusement garni.

Rock'n solex, non plus, n'a pas résisté, samedi. A Nosfell, sa voix élastique, son show venu d'ailleurs. Du Klokochazia, très précisément, sa planète Mars à lui d'où il ramène un melting-folk sensuel et envoûtant. Avant d'attaquer les festivals de l'été, le jeune homme s'est offert sa seconde escale rennaise, après les Trans.

Ne lui parlez pas des Trans Musicales. Nosfell et son complice, Pierre Le Bourgeois au violoncelle, n'en gardent pas un bon souvenir. «Ce soir-là, on a passé notre temps à faire des signes pour régler des problèmes techniques. Impossible de se concentrer. Mais, bon, les Trans, c'est bien d'y être.» Absolument. Car, après, les portes s'ouvrent. Ce concert « raté » de décembre a bien joué le rôle de sésame puisque, depuis, tout le monde s'arrache Nosfell. «On fait quinze dates par mois. On sera aux Eurockéennes, aux Vieilles Charrues, aux Francofolies, à Montreux,... » L'ambassadeur du Klokochazia est sur un nuage. Samedi soir, le public de Rock'n solex lui a fait un triomphe. Pourtant, on s'étonne toujours qu'un univers si personnel, fragile comme de la porcelaine, puisse s'accommoder d'une grande salle. «Notre show repose sur des boucles musicales que nous enregistrons en direct.» Et sur la performance très physique de Nosfell en guerrier, torse et pieds nus, dont la voix navigue des graves les plus profonds aux aigus les plus stridents. Certes, Nosfell a l'habitude des foules. Depuis qu'il a remplacé au pied levé The Roots pour affronter, seul, le Parc des Princes, en première partie des Red hot. «Le gars qui hurle sans prévenir, l'autre qui commande une bière, bien sûr que c'est déstabilisant. Mais, on s'y fait. Sans renoncer à notre univers, à notre invitation au voyage.» Nosfell aurait bien tort : les candidats à l'embarquement sont de plus en plus nombreux.

Benoit LE BRETON

 

Mardi 22 mars 2005
Edition : Finistere Sud - Rubriques : Cornouaille


Il cherche à toucher l'humain dans son public

Nosfell l'enchanteur a tenu son pari

Arbre ou liane, Nosfell est gonflé de la musique d'épopées étranges que le vent souffle aux oreilles des coeurs purs : le spectacle est remarquable. Tour de chant, tour de force, Nosfell en solo parle à l'imagination de chacun dans la salle. Mi-conte, mi-chant indigène d'une contrée indéfinissable, Nosfell s'est inscrit dans les mémoires du public châteaulinois vendredi. Pas plus de 150 personnes pourtant pour cette prestation exceptionnelle par son originalité et l'intensité du concert, avant le swing de Jesus Volt.

Onomatopée ou son de gorge ? La langue de Nosfell est musique et poésie, son spectacle en appelle à la sensibilité du public, louvoie entre conte, magie, musique actuelle ; mimiques et contorsions font le reste. Si Nosfell joue d'emblée dans la cour des grands c'est probablement parce qu'il maîtrise tous ces paramètres qui font de lui un artiste accompli. Par ailleurs, Nosfell possède un registre de voix d'une ampleur exceptionnelle qu'il exploite sans relâche.

Le public se laisse emporter au Klokochazia (son pays, ça va de soi), où les corps se changent en lianes comme le sien, où les arbres susurrent à l'oreille des enfants les musiques du monde. Le beau se fait multiple, et rien ne saurait le réduire. Par un jeu de pré-enregistrement, Nosfell donne l'illusion de multiplicité. Le public est venu se faire surprendre et ne repart pas déçu : il reste bouche bée parfois, amusé, séduit, emporté par la tendresse de certaines mélodies, leur harmonie. Gageons qu'accompagné de son violoncelliste, le spectacle de Nosfell gagne en liant et en ampleur. Jesus Volt ? Attendu par les noctambules, le groupe a la fougue d'un groupe blues rock traditionnel : le groupe s'inscrit dans la plus pure des lignées du genre. Mais pour éviter les polémiques, on évitera toute tentative de classement. Comme aime à le rappeler Lord Tracy « On nous reproche bien souvent de ne pas être un groupe de blues dans l'esprit de Chicago. Mais nous ne sommes ni Noirs, ni Américains ». OK ? A retenir cependant, le groupe a tous les talents pour chauffer une salle.

Prochains concerts : vendredi 25 mars, Rubin Steiner et son Neu Band, 15€ (13 en location) ; Dimanche 27 mars, Bjorn Berge, 12€ (10 en location). Tél. 02 98 86 27 95. www.runarpuns.com

 

vendredi 18 mars 2005
Edition : Finistere Sud - Rubriques : Cornouaille

 

Découvert aux Transmusicales,
il joue ce soir au Run ar puns
La révélation Nosfell à Châteaulin


L'inclassable Nosfell joue sur la scène du Run ar Puns ce vendredi soir.

 

Êtes-vous déjà allé en Klokochazia ? Nosfell vous y invite, ce vendredi soir, en passant par la scène du café-cabaret châteaulinois le Run ar puns. Révélation des dernières Transmusicales rennaises, un artiste inclassable à ne pas manquer.

« Une prestation inclassable, super original, techniquement très fort... » L'équipe du Run ar Puns, qui l'a découvert aux dernières Transmusicales rennaises, s'engage, unanime : « Nosfell est une révélation ». Et aussi un caméléon, « un artiste protéiforme, aux confins du rêve et de la réalité. »

Il serait donc préjudiciable de le manquer ce soir. Crâne rasé, les bras et un côté du torse tatoué, vêtu d'une sorte de pagne sur un pantalon flottant. Seul, ou en duo avec son violoncelliste complice, Pierre Le Bourgeois. Un spectacle de Nosfell n'est pas seulement une expérience sonore, c'est aussi visuel et sensoriel. Car Nosfell est un créateur d'atmosphères. Il danse, animal, serpent, singe, poisson, le corps disloqué, incarnant les différentes facettes des arts de la scène. Il chante, coulant, tendre, puis grimpe à l'octave, se fait cri, plainte, redescend, rauque, dans les sombres graves. Une singulière souplesse vocale qui fait dire à l'un de ses fans, sur le net, « ce type enterre Jeff Buckley (sérieusement) ! »

Un travail intime

Personnage à part du rock made in France, Labyala Nosfell s'est inventé un langage personnel, le Klokobetz, idiome d'un pays imaginaire, le Klokochazia. Ses 283 mots lui permettent de « raconter les mythes de ce pays, d'exprimer des choses que je ne pourrais dire dans notre langue. Je veux tout faire pour exceller dans la suggestion. Je suis très fier quand, à la fin d'un concert, les gens me disent que cela leur a fait penser à telle lecture ou tel souvenir, quelque chose de très personnel. Je présente un travail qui est pour moi très intime. Mon but est de réussir à le rendre plus universel, humain. »

Nosfell , qui se sample lui-même sur scène, construisant ses morceaux au fur et à mesure dit : « J'ai plus envie de jouer « avec » mes morceaux que de les jouer ». Il a aussi - respect- assuré la première partie des Pixies et des Red Hot Chili Peppers au Parc des Princes, devant quelque 30 000 spectateurs.

Autre révélation, encore française, de la même soirée, Jésus Volt, un groupe mi-dieu, mi-démon, aux guitares tranchantes et riffs ressuscitants, que ne renierait pas le John Spencer Blues Explosion. Un chanteur charismatique, Lord Tracy, dandy électrique, et un son urbain que l'on retrouve sur leurs deux CD, dont le second, Electro button funky coxxx, a décroché trois étoiles dans la très sélective revue Guitar & Bass.

- Nosfell & Jésus Volt, ce vendredi 18 mars au café-cabaret le Run ar Puns, Châteaulin, à partir de 21 h 30, 13 € au guichet. Rens. 02 98 86 27 95.

F.G.

 

Jeudi 17 mars 2005
Edition : Guingamp - Rubriques : Callac

Blues, rock et chanson française au Bacardi samedi

Après son triomphe au Transmusicales, Nosfell sera samedi sur la scène du Bacardi.

Samedi 19, à partir de 21 h, l'association Melrose propose, au Bacardi, un plateau rock et chanson de premier plan, avec Nuit San Pedro (chanson française), Nosfell (chanson théâtrale) qui débarque en centre-Bretagne après son triomphe aux Transmusicales, et Jesus Volt (New Rock Blues).

Jésus Volt aime son prochain, et c'est parce qu'il est influencé par ce bon vieux blues qu'il se donne un malin plaisir à le triturer et le mixer avec du funk, du rock, du punk, de l'électro... Et si les musiciens du groupe aiment aussi la scène, c'est parce que le public le leur rend bien. Avec plus de 500 concerts en Europe et en Australie, et des prestations scéniques impressionnantes, Jesus Volt est branché sur la haute tension!

Avec ses multiples voix et sa guitare, Nosfell, caméléon musical, unique locuteur d'une langue étrange, incarne différentes facettes des arts de la scène. Il nous mène aux confins du rêve et de la réalité. Seul sur scène, Nosfell est un artiste protéiforme, inclassable, authentique. Ce qui est certain, c'est qu'un concert de Nosfell est une expérience unique - à la fois sonore, visuelle et sensorielle - qui ne se laisse pas oublier.

Suivi par un public toujours plus nombreux, Nosfell a déjà été plébiscité par la presse qui s'est fait l'écho de moments rares, depuis son double prix au tremplin Starting rock du Chorus des Hauts-de-Seine 2003 (prix du public et prix du jury), les prix Attention Talent Scène et Sacem aux Découvertes du Printemps de Bourges et de la Fnac édition 2004, jusqu'à son récent passage au festival Rock en Scène et aux Transmusicales de Rennes. Auteur de tous les textes, il impressionne par sa manière de les interpréter: la singulière souplesse de sa voix utilisée comme un instrument à part entière, l'implication physique totale, l'abandon et la générosité.

Pratique. Samedi 19, à partir de 21 h, Jesus Volt (blues rock), Nosfell (chanson théâtrale) et Nuit San Pedro (chanson française), en concert au Bacardi (Callac), organisé par l'association Melrose. Entrée: 12 €.

 

 

Mercredi 16 mars 2005
Edition : Saint-Brieuc - Rubriques : Saint-Brieuc

Nosfell se produit, jeudi, à l'Appel d'airs


Des concerts avec une dimension très théâtrale.

Primé au printemps de Bourges, révélation des Trans 2004, un spectacle de Nosfell n'est pas seulement une expérience sonore, elle est aussi visuelle et sensorielle. Cet artiste est un créateur d'atmosphère. Musique rock, melting-folk, tantôt puissante, tantôt douce. Sa singulière souplesse vocale fait ressentir, en anglais ou dans sa langue (le Klokobetz), les histoires d'un ailleurs, la planète Klokochazia. Les concerts de Nosfell sont des invitations au voyage dans une autre dimension.

Jeudi 17 mars, à 21 h, à l'Appel d'airs, à Trébry. Tarifs : 6 €, en location ; 8 €, sur place. Contact : tél. 02 96 67 27 70.

 

Journal Ouest-France du lundi 14 mars 2005
Edition : Angers Segre - Rubriques : Angers Ville


Le Chabada a fait le plein la semaine dernière

Nosfell , atout diabolique et magique

Nosfell , véritable phénomène, était en apéro-concert devant plus de 500 personnes mercredi au Chabada
La Smac (Salle de musiques actuelles) angevine a vécu une semaine réjouissante avec la venue des classieux Wallons de « Girls in Hawaï » et du jeune prodige Nosfell. Deux beaux et bons concerts auxquels, fait trop rare pour le Chabada, le public a fait honneur.

 

Les Wallons de Girls in Hawaï ne sont pas du genre expressif. Mais ce sextet venu de l'autre pays de la pop a l'art de mettre un public dans sa poche. Ravis de jouer devant une grande salle fort garnie, ils ont également apprécié l'accueil fait à leur première partie, la formation flamande de Sioen. Girls in Hawaï joue une musique intemporelle, une pop lancinante, éthérée, à la beauté enchanteresse. Un an et demi après la sortie d'un album très remarqué, le groupe surfe encore sur le succès. L'approche artisanale, la présence de trois guitares et de deux voix au chant et la sensibilité qui émane de ces six garçons forment un cocktail plus que séduisant.

Une vraie claque... Lorsque Monsieur Nosfell apparait sur scène, guitare en bandoulière, accompagné d'un contrebassiste, on ne se doute pas que cet apéro-concert du mercredi 9 mars restera comme l'un des moments très forts de la saison. Certes, il existait des signes avant-coureurs : les programmateurs des dernières Trans l'avaient déjà repéré, une très bonne radio parisienne n'avait pas hésité à la mettre sur ses ondes et le Chabada en avait fait la couverture de son Programme n° 66. Mais Nosfell est à voir plus qu'à disserter et l'on s'excusera ici de la contradiction. Difficile en effet de résumer un tel phénomène : Nosfell-Protée parvient à imposer ce qu'il y a de plus difficile en musique, la création d'un univers. Univers langagier avec cette sémantique hybride où l'on décèle de l'anglais mais qui se nourrit surtout de syllabes agencées de manière facétieuse ; univers musical avec la technique du re-recording (enregistrement de sa propre voix _ en l'occurrence, Nosfell se fait beat box _ qui forme la base rythmique) et ce minimalisme fertile ; univers mythique enfin, Nosfell s'étant créé un monde avec ses mages et ses arbres qui pleurent. Rien ne serait vraiment transcendant (Lo'Jo ou encore Magma ont oeuvré en ce sens) si tout cela n'était autant habité par un Nosfell au charisme et à l'aisance bluffantes. Imparable !

Prochain rendez-vous Chabada : Roots Manuva (date unique dans l'Ouest mardi 15 mars, 12 €, 15 € et 17 €); Thierry Robin trio (mercredi 16 mars, 12 €, 15 € et 17 €) et Antibalas Afrobeat Orchestra (samedi 9 mars, 10 €, 13 € et 15 €).

 

 

Jeudi 13 janvier 2005
Edition : Le Mans Sarthe Nord - Rubriques : Le Mans

 

Le guitariste chante dans une langue imaginaire
et ses concerts fascinent

Nosfell le caméléon, bête de scène

Nosfell , inventeur d'un melting-folk sensuel et envoûtant, déploie une voix hors du commun.

Moisson de prix dans des festivals, premières parties de Miossec, concert aux dernières Transmusicales de Rennes : révélation de l'année 2004, Nosfell fait étape à Allonnes, ce vendredi. Entretien avec un chanteur-guitariste hors normes, dont les prestations scéniques ont de quoi surprendre les plus blasés.

Vos chansons évoquent les histoires d'un pays imaginaire, Klokochazia, dans une langue inventée, le klokobetz.

Cette langue me permet d'exploiter la voix et de mettre en avant ce que je ressens, pour créer des mélanges d'humeur. Je veux faire travailler la subjectivité du public, son interprétation. Dans chaque histoire, je mets en scène des personnages, comme Darazdeblek, chassé parce qu'il avait voulu apprendre la musique aux enfants. Au pied d'un arbre, j'ai entendu la mélodie qu'il avait soufflée avec de s'éteindre.

Vous êtes proche de l'univers du conte.

Le conte fait partie de mes influences. Comme la mythologie, le voyage. Nosfell signifie « Celui qui marche et qui guérit ». Ça peut paraître prétentieux, mais c'est comme ces noms de métier devenus des noms de famille.

Râles caverneux à la Tom Waits, ondulations cristallines : sur scène, votre voix, très troublante, part dans tous les sens. Vous l'utilisez comme un instrument à part entière.

Le choix des histoires me permet de justifier l'utilisation de la voix à son maximum. Je n'explore pas les sons juste pour le plaisir de faire des hauts et des bas. Le son a du sens. Je change de ton parce que j'essaie d'incarner différents personnages : une jeune femme, un vieil homme que plus personne n'écoute.

Vous jouez avec un violoncelliste, en construisant vos morceaux à partir de samples.

Tout est samplé en direct. Un exercice qui demande beaucoup de concentration. Du coup, ce ne sont jamais tout à fait les mêmes boucles. Même si tout est écrit, j'essaie de créer quelque chose de nouveau à chaque fois, de laisser la place à l'improvisation.

Sur scène, vous avez un jeu très théâtral : torse et bras recouverts de tatouages, mouvements qui font penser à des animaux. Vous jouez souvent juché sur un pied.

Jouer sur un pied, c'est naturel. Je me sens bien dans cette position, même si ce n'est pas l'idéal pour mon dos. Je suis sensible à l'expression corporelle, j'essaie d'utiliser la scène au maximum, mais tout est très spontané. Le yoga m'a beaucoup aidé. Ça permet de travailler sur soi, de visualiser ce qui se passe à l'intérieur.

Pratique. - Vendredi 14 janvier, 21 h, salle Jean-Carmet, Allonnes. Avec d'Elph. Tarif : 7 €. Tél. 02 43 83 42 25.

Recueilli par Jérôme LOURDAIS

 

 

 

Vendredi 3 décembre 2004
Edition : Rennes 1 - Rubriques : Sortir à Rennes

Nosfell , la voix du Klokochazia

Le show de Labyala Nosfell, torse et pieds nus, est attendu, ce soir, comme une possible révélation.

Les Trans ont un faible pour les projets bizarres, les doux-dingues inclassables. Dans la catégorie, Nosfell est clairement repéré. Mais, attention, cet artiste à la voix incroyable, tout droit débarqué du Klokochazia, ne sera pas l'amuseur de cette édition. Mais bien plutôt l'une de ses révélations.

Labyala Nosfell est son vrai nom et, promis, il vient bien du Klokochazia même si, bien sûr, tous les atlas du monde sont là pour le démentir. Le jeune homme de 26 ans entretient le mystère. « Sur scène, je présente des humeurs et des histoires de ce pays, confie-t-il. Ou, du moins, je l'ai fait ressentir au public, à travers des couleurs musicales. » En concert, Nosfell, torse et pieds nus, n'est accompagné que d'un violoncelliste, lui-même assurant la guitare et le sampler. « J'essaie d'exploiter la scène au maximum en utilisant la musique, mais aussi l'expression corporelle. » Ni vraiment folk, ni vraiment jazz, son univers musical déroute. Et fascine très rapidement, d'abord par quelques mélodies accrocheuses, puis par son incroyable richesse. « Je puise dans tous les folklores du monde, sourit-il. C'est le caractère ethnique des musiques qui m'intéresse, qu'elles soient anciennes ou modernes. »

D'emblée, en écoutant « Pomaïe Klokochazia balek », son premier album autoproduit, on est frappé par la voix de Nosfell. D'une souplesse, d'une élasticité incroyables. Le jeune homme peut adopter le timbre d'une gamine de dix ans sur une ritournelle enfantine avant, sur le morceau suivant, d'avoir la voix éraillée d'un Tom Waits. Un grand écart réalisé, le plus souvent, en Klokobetz, la langue dont il se dit le porte-parole. « Elle me permet d'aborder des tessitures et des couleurs vocales que je ne pourrais atteindre avec d'autres langues. »

Seul au Parc des Princes

A son tableau de chasse, Nosfell compte un titre de « révélation » au dernier Printemps de Bourges. Et, surtout, un concert, seul face à 30 000 personnes, en juin dernier, au Parc des Princes, en première partie des Pixies et des Red hot chili peppers. « Quelque chose d'énorme, impressionnant ! On m'a appelé à 14 h pour jouer à 19 h dans un stade, afin de remplacer les Californiens de The Roots ! » Autant dire que le jeune homme est tout à fait apte à relever le défi des Trans Musicales.

Benoit LE BRETON

 

 

Vendredi 26 novembre 2004
Edition : Alencon-Orne Est - Rubriques : Alençon


Entendu à La Luciole, mercredi

Nosfell , un phénomène artistique

Nosfell , un caméléon musical, une boîte à rythmes humaine en scène.

Nosfell s'est produit mercredi soir à La Luciole devant une salle pleine. Un phénomène musical, plus proche de la performance artistique que du concert, qui a emmené les spectateurs découvrir l'univers étrange de Klokochazia, plein de superpositions de voix, de borborygmes et de guitares.

 

Le concert de Nosfell, c' était une soirée du mercredi à 5 € la place. Un de ces concerts rares où le public se précipite, qu'il se dise : « Je ne sais même pas qui c'est, mais un type marqué inclassable, j'avais envie de voir ça », ou bien qu'ils soient de ceux, moins nombreux certes, incollables en Klokobetz, la langue de l'univers nosfellien.

Un public assez intrigué au départ, mais qui a vite embarqué pour Klokochazia, Nosfell jouant les guides, guitare en main. Une expérience sonore où il joue de la voix et des retours de sons pour donner une ambiance sonore déroutante. Mais loin d'être désagréable.

La salle a complètement accroché aux sonorités émises par cette boîte à rythme humaine, se mouvant avec des gestes de marionnette dont les fils sont tenus par on ne sait qui. Tout cela n'avait finalement pas grand-chose à voir avec un concert. Mais la performance était celle d'un bel artiste.

 

Mardi 23 novembre 2004
Edition : Alencon-Orne Est - Rubriques : Alençon


Rock et melting-folk sur la scène des musiques actuelles
Labyala Nosfell mercredi à La Luciole


Nosfell
, à la voix coulante qui se fait tantôt douce, tendre, plainte ou cri rauque.
Jean-Luc Bertini

Rangé au registre des « inclassables », Labyala Nosfell sera sur la scène de La Luciole, mercredi soir. Il conjugue la musique en rock, pop, folk, blues et percussions dans une langue bien à lui : le Klokobetz. Inutile de chercher son origine dans le dico : le Klokochazia est un lieu purement inventé.

Lauréat lors des découvertes du dernier Printemps de Bourges et de la Fnac, Nosfell y a obtenu les prix « Attention talent » scène et Sacem.

Ses concerts sont une véritable invitation aux voyages dans des paradis inventés. Sa langue ? Le Klokobeth, un dialecte qui sort tout droit de son imagination. Seul sur scène avec sa guitare électroacoustique et son rack de pédales, Nosfell est un créateur d'atmosphère. Musicien et arrangeur, il entraîne le public dans un univers totalement étrange. Sa voix passe sans transition du registre de baryton à celui de haute-contre.

En février et mars 2002, le musicien sans frontières était au Japon. Depuis, il n'a pas cessé de tourner dans divers lieux musicaux. Il a participé, en août dernier, au festival installé dans le parc de Saint- Cloud (48 000 spectateurs). Ceux qui l'ont déjà entendu s'en souviennent...

Nosfell crie et pleure à la fois, tout en offrant deux facettes surprenantes à son talent d'exception. Un concert à ne pas manquer, totalement inclassable.

Pratique : A La Luciole, mercredi 24 novembre, à 21 h. Tél. 02 33 32 83 33.

 

 

Mercredi 21 juillet 2004
Edition : Saint-Brieuc - Rubriques : Pommerit-Le-Vicomte

 

Nosfell a séduit le public du Bathyscaphe

Nosfell , la nouvelle révélation du rock français, a séduit le public du Bathyscaphe, lundi soir. Ils étaient une soixantaine de spectateurs à assister au concert de ce jeune Parisien de 26 ans, chanteur et guitariste talentueux dont on devrait entendre parler rapidement.

 

Samedi 17 juillet 2004
Edition : Guingamp - Rubriques : Guingamp


La révélation Nosfell au Bathyscaphe

Labyala Nosfell, nouvelle icône de la scène rock française, sera en concert au Bathyscaphe, lundi.DR

Nosfell , vous connaissez ? Dernièrement en première partie des Pixies et des Red Hot Chili Peppers au parc des Princes, ce chanteur-guitariste ne cesse d'écumer les scènes parisiennes et les festivals. Présenté comme la nouvelle icône du rock français, Nosfell sera en concert, lundi soir, à 21 h 30, au Bathyscaphe, à Pommerit-le-Vicomte. À découvrir.

Dévoilé lors du Printemps de Bourges par les prix « Attention talent scène » et « Résidence Sacem », Nosfell est une véritable révélation musicale. Récemment en première partie des Pixies et des Red Hot Chili Peppers, ce Parisien n'en finit pas d'étonner. Il écume les scènes de la capitale et des festivals du moment, mais ce n'est encore que le bouche à oreille qui en fait la meilleure promo : « Cet homme-là a du génie ! » C'est en tout cas ce que disent ceux qui ont déjà eu l'occasion de le voir en concert. Certains n'hésitent d'ailleurs pas à le propulser au rang de « nouvelle icône du rock français » !

Nosfell chante seul, accompagné de sa guitare électro-acoustique. Seul mais multiple car il incarne une dizaine de personnages. Du sauvage effarouché au « gueulard » viril tout aussi sauvage en passant par la petite fille chinoise qui se transforme soudainement en improvisation vocale suraiguë et sensuelle façon Jeff Buckley, l'artiste se révèle être un « caméléon » musical. « Nosfell est un artiste protéiforme, inclassable, authentique qui nous mène aux confins du rêve et de la réalité » peut-on lire sur son site internet (www.nosfell.com).

Unique locuteur du... Klokobetz !

« Masta goe da brainsippa ». Ces mots ne vous disent rien, vous n'en comprenez pas la signification ? Normal. Il s'agit du titre d'une des chansons de l'artiste. Vous vous interrogez sur cette langue étrange et étrangère ? Nosfell chante la langue de son pays, le Klokobetz ! Inutile de vous précipiter sur une carte, Nosfell s'est inventé un monde, « spontanément ». « Mes chansons racontent les mythes du Klokochazia, mon pays d'origine, dans la langue locale, mais aussi en anglais », expliquait-il récemment à un confrère lors du festival Chauffer dans la noirceur, près de Coutances, dans la Manche.

Sur scène, Nosfell danse et joue des pantomimes pour accompagner sa voix et la musique. Le rock est à la base de son univers. Mais un rock très intense. Quant à sa voix, comme ses textes, elle est hors normes. Elle oscille sans cesse du grave à l'aigu, fait perdre tous ses repères à un public médusé. « Je travaille seul sur la voix, précise Labyala Nosfell. Il s'agit d'un travail d'introspection, physique, à l'intérieur de moi ».

Ses prestations scéniques sont très théâtrales. L'implication du chanteur est totale, sa musique s'incarne réellement sur scène. À la rentrée, il enregistrera son premier album, « car cela fait partie des us et coutumes de l'industrie du disque... » Enattendant, vous découvrirez un aperçu de l'univers de Nosfell en live, lundi soir, à Pommerit-le-Vicomte. Le voyage promet...

Pratique . Nosfell en concert au Bathyscaphe, 9 place de l'église à Pommerit-le-Vicomte. Tarif : 8 €, 5 € en tribunes. Réservations souhaitables au 02 96 21 90 67.

Bruno ALVAREZ.

 

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